Léa Ahougbenou HOUNKPE entre en librairie



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Anonyme a dit…
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1 avril 2016 à 12:31
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  Perles d’émotion de Marcel-Christian OGOUNDELE Le regard critique de Daté Atavito BARNABE-AKAYI  En mai 2012, il y a environ un an, nous nous sommes rencontrés ici, pour célébrer Tu leur diras , un ouvrage qui a arraché des perles de larmes à plus d’un d’entre les convives. Un ouvrage qui a étendu ses émotions jusqu’aux absents de sorte que, lorsque les responsables du système éducatif se sont réunis, à la découverte de Tu leur diras , ils n’ont su résister à le recommander dans le programme scolaire dans l’enseignement primaire, notamment dans toutes les classes du Cours Moyen 1 ère année et du Cours Moyen 2 ème année du territoire béninois. Nous leur en savons gré. L’auteur en tête. Aujourd’hui, 11 mai, journée consacrée à Bob Marley, Ogoundélé nous invite derechef à baptiser son deuxième recueil de poèmes. Chers invités, la poésie de Marcel-Christian Ogoundélé et la musique de Bob Marley n’ont apparemment pas de tissu ombilical commun. Mais il se trouve que ...
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Dégoûts et engouements d'une génération

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Dégoûts et engouements d'une génération: plaidoyer pour un NOUVEAU DEPART d'une jeunesse africaine en déliquescence. Roger KOUDOADINOU, ce docteur en littérature francophone expose ici, son appréhension d'une couche juvénile abandonnée presque et qui s'offre des exutoires qui loin de le sortir du gouffre, l'immerge davantage. Une entrée littéraire qui résonne en bruit et en fureur. Un essai avec des révélations frissonnantes sur la qualité du jeune africain. Le Éditions Plumes Soleil en sont fiers. Anicet Fyoton MEGNIGBETO
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"La cité grise et onctueuse de Dagbéto Basile" Déjà dans les librairies

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Le ciel citadin Notre ciel citadin est toujours plein d' émanations brumeuses  Les pensées se choquent, violemment,  formant des tumeurs Hélas dans nos cerveaux, dans nos cœurs, dans nos mains ;  Notre ciel citadin est toujours plein d'émanations brumeuses  Nos pieds éléphantiasis, nos cœurs flocons de neiges noirs Sont vidés de soleil quand le soir vient, lent et affreux ; Notre ciel citadin est toujours plein d'émanations brumeuses Les nuits cueillent les souffrances des âmes qui déclinent,  Misère dans la poche, douleurs dans les cœurs meurtris,  Désespoir dans les reins qui s'épuisent et s'effritent Sous ce ciel livide toujours plein d'émanations brumeuses ; Et pourtant dans cette cit é, des âmes vivent leur « bonheur », Honteux et tranquille, dans des gites qui reflètent la vie.
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